mercredi 20 décembre 2017

REVANCHE ! #écrire-en-ligne

Atelier d'écriture écrire en ligne.
Décembre 2017.
Thème : la revanche.

Toute ressemblance avec des personnes ou des situations
existantes ou ayant existé ne saurait être que carrément
pas du tout fortuite, mais c'est l'jeu ma pôv'Lucette. 

  
Au fond du tube de plexiglas, les ondes clastiennes s’agitent, filaments lumineux qui s’entrecroisent et s’élèvent le long des parois jusqu’à délivrer leur message sur l’écran de contrôle, par le biais d’un système complexe alliant l’électronique de pointe et les terminaisons pseudo-nerveuses de synthèse. Aussitôt les laborantins s’approchent, prêts à noter et transmettre ce message venu des limbes par le miracle de la science. 

Conserver un cerveau et le maintenir vivant est devenu chose courante, mais en recevoir un message reste encore assez rare : encore faut-il que son ex-propriétaire, où qu’il soit, ait fortement envie de communiquer quelque chose. Les premières décennies, les scientifiques pensaient enfin parvenir à comprendre la vie après la mort en communiquant avec les récents trépassés. Hélas, ceux-ci ne délivraient que peu d’informations sur ce qui leur arrivaient « après ». Les quelques rares pensées transmises ressemblaient à des élucubrations de Cassandre sous acide. Aussi il avait été décidé de réserver le processus de « clastinisation » aux seuls cerveaux dits exceptionnels. Mais comment définir l’exception ? Le comité d’éthique planchait encore sur la question.  En attendant une réponse qui sans doute ne viendrait jamais, la firme CLAS, pragmatique, avait tranché : il fallait que l’heureux possesseur de cerveau à conserver soit aussi l’heureux possesseur de la somme nécessaire au financement du processus. Aussi, petit à petit, les prix Nobel avaient été remplacés par les stars médiatiques du monde de la culture, la science ne payant pas plus alors qu’au 21ème siècle… Philosophes, écrivains et vidéastes de la 7ème vague gagnaient autant de renommée que d’euro-dollars, aussi petit à petit leurs cerveaux prirent place dans les caissons de la firme, furent reliés aux tubes d’ondes clastiennes, et libérèrent les messages d’outre-tombe. Ces messages assuraient d’ailleurs des royalties non négligeables à leurs héritiers, ce qui permettait le financement du processus ad-vitam aeternam (ou plutôt ad-post-vitam aeternam). 

Fébriles, les laborantins fixent le petit curseur clignotant sur l’écran de contrôle, annonciateur du message à venir. Les doigts crispés sur leurs smartdigiphones, ils déclenchent l’enregistrement de la séquence. De tout le niveau de la firme, le personnel afflue. Pas seulement les laborantins en charge de l’opération, mais aussi tous les curieux, et, osons-le dire, les fans du disparu : c’est le premier message qu’il envoie. Est-ce que ce sera une phrase ? Une image ? Un son musical en 3D peut-être ? Cela lui correspondrait si bien… 

C’était une star, une vraie. Avec une histoire douloureuse, forcément, qui justifiait ses égarements et ses caprices. Il était beau, il était célèbre et il était aimé. Et son public lui pardonnait tout. Ce charisme ! C’était de famille, évidemment. Comme son frère, un frère jumeau en plus. Une star, lui aussi, dans un autre genre : pour l’un, les paillettes, les fan-clubs et les unes de tous les sites ; pour l’autre, les conférences, les publications et les romans applaudis dans le monde entier. Un fossé incroyable les séparait malgré la proximité de leur gestation. C’était comique, d’ailleurs : avant la naissance, ils étaient collés l’un à l’autre. Après la mort, leurs cerveaux reposaient côte à côte dans les caissons de la firme. Quel symbole ! Le grand public se délectait de l’histoire de ces deux frères que tout opposait.

A leur naissance, comme tous les enfants conçus par prédétermination génique, ils avaient très tôt développé des compétences différentes, suivant la voie toute tracée et définie spécifiquement pour eux. Leurs parents, riches galeristes d’œuvres immatérielles de l’ère post-décadentielle, avaient choisi pour le numéro 1 l’intelligence, l’érudition et l’éloquence, le prédestinant à une riche et belle carrière d’universitaire-philosophe-romancier. Pour le numéro 2, la fantaisie leur avait pris de délaisser le sérieux et la gravité : il serait musicien, chanteur et acteur, bref, il serait une star. Les deux avaient merveilleusement réussi dans la voie qu’on leur avait choisie. Leurs parents avaient tout fait pour : il avait adulé le numéro 1, pour lui assurer confiance et estime de soi, et consciencieusement rejeté le numéro 2, pour développer en lui ce côté « artiste ténébreux » tellement en vogue…
Ils avaient si bien fait que les deux frères se détestaient, le premier méprisant ouvertement le second, le second jalousant secrètement le premier. 

Avec cette synchronicité parfaite et troublante qui est celle des jumeaux, tout à coup la lumière diffuse d’un message en approche pointe dans le tube voisin : voilà le numéro 1 qui s’apprête à communiquer lui aussi !  La firme toute entière est en ébullition. Dans la salle de presse, reliée au laboratoire pour vivre en direct la réception des messages, les médialistes n’osent croire en leur félicité.  Deux messages ! Des deux frères ! En simultané ! Vont-ils se quereller comme ils le faisaient de leur vivant, le premier écrasant systématiquement l’autre de sa verve ? Vont-ils s’ignorer superbement comme dans leurs derniers jours, le second accablant naturellement l’autre de sa prestance ?

C’est l’aîné, toujours premier décidément, qui délivre d’abord son message. Une courte phrase qui apparaît dans une fort belle écriture manuscrite : « La plume et l’esprit ne sauraient se contenter de la mort ». Les spécialistes hochent la tête, l’air grave et pénétré. Quelle profondeur. Quelle finesse d’esprit. Quelle pique aussi, envers son frère, encore une fois… La supériorité de l’intellect.
Mais voilà qu’une image se forme sur l’écran de contrôle du second : la silhouette du cadet apparaît. Il est lumineux, toujours aussi beau, un micro à la main. La musique de son dernier tube se fait entendre. Et sa voix, soudainement, explose : « Moi, j’ai eu mon nom sur la Tour Eiffel »

jeudi 7 décembre 2017

#projetcelsius : dernière ligne droite!

Incroyable, le dernier mois de l'année est déjà là, et avec lui la fin de mon #projetcelsius!

C'est assez fou, finalement, je n'ai pas vu le temps passer.
Raison de plus pour apprécier d'en garder une trace avec cette couverture météo. ;)

Le froid est là, je reviens aux températures glagla, et aujourd’hui j'apprécie d'avoir cette lourde couverture qui me couvre les jambes quand je tricote mon rang du jour !


lundi 13 novembre 2017

#ProjetCelsius : septembre/octobre, winter is coming. Brrrr...


Bon, bon, bon... Je suis toujours aussi assidue (ou presque) pour ce qui est de tricoter, mais pour les comptes-rendus ici même, bah... Je pense que finalement, une note tous les deux mois c'est un bon rythme, non? 

Et toutes mes excuses pour ce titrer si convenu @GoT, je ne pouvais décemment pas ne PAS la faire, celle là... Parce que "winter is coming" vachement vite, là, quand même! Au mois d'octobre, on a parfois eu des écarts de température de presque 10 degrés d'une journée à l'autre! Brrrr donc... 

Je pense décidément que l'achat de plusieurs pelotes des coloris saumon et rose était une douce hérésie, preuve de mon indécrottable optimisme... 


Mbref, voici les dernières avancées de mon ProjetCelsius pour ces deux derniers mois:

dimanche 29 octobre 2017

Mon BuJo double effet kiss-cool ou la quête de l'agenda idéal


Et bien ça y est, le dernier trimestre est bien entamé, et déjà je perçois, le soir au fond des bois (de facebook) la complainte des zorthos en quête de l'agenda idéal... 


Car tu n'es pas sans savoir que les zorthos, entre autres tares et particularités bizarroïdes, sont généralement des fanas de papeterie. Lâche une orthophoniste dans les rayons d'un supermarché à l'approche de la rentrée scolaire, et admire : les étoiles dans les yeux, les galopades d'une tête de gondole à l'autre, les cahiers et agendas qu'elle feuillette fébrilement à la recherche du Saint Graal... C'est presque aussi émouvant qu'une remise en liberté de bébé ourson dans une réserve naturelle. 

Et je n'échappe pas à la règle. Je fais même partie des spécimens bien atteints, j'avoue... 


(Demande à Pacsman ce qui se passe quand on passe devant une librairie-papeterie, à mon avis il va soupirer très fort, lever les yeux au ciel et hausser les épaules en signe d'impuissance tandis que, discrètement, il sortira un papier sur lequel est inscrit "HELP ME" en espérant que tu comprendras le message)

Mais je m'égare... 
L'agenda idéal, donc! 
Bon, ben c'est comme le prince charmant, ça n'existe pas. 
Donc, comme pour le prince charmant, il faut lui trouver un suppléant. 
Et bien sache que le BuJo pro est à l'agenda idéal ce que le Pacsman est au prince charmant : un modèle de remplacement tout à fait convenable et fonctionnel, qui plus est parfaitement modulable pour correspondre à TES besoins (mais là, on est d'accord, je ne parle que du BuJo, t'approche du Pacsman et je mords, ok?). 

Ouh la, mais je m'emballe! 


Je te parle de BuJo, là, comme ça, tout à trac, et si ça se trouve tu ne sais même pas ce que c'est! 
Le BuJo, c'est le p'tit nom du Bullet Journal, littéralement "Journal de balle", ce qui ne veut rien dire, et qu'il ne faut pas confondre avec le "carnet de bal" des grandes coquettes du début du siècle dernier. 

mardi 26 septembre 2017

#Projet Celsius : je suis toujours là !

Ça commence à faire un moment que je n'ai plus donné de nouvelles de mon projet Celsius, pourtant je suis toujours dans la course! 
L'été a été mouvementé du point de vue du tricot, avec les séjours à droite à gauche où il ne m'était pas toujours possible d'embarquer mon sac à laines avec moi. Dans le sac de rando, les aiguilles, c'est pas top... Et puis quand il fait chaud, le tricot, surtout avec ces dimensions, c'est pas évident : la couverture sur les jambes par plus de 30°, clairement je m'en passe! Ajoute à cela que l'initiatrice de ce projet s'est absentée des groupes de discussions dédiés (pour des raisons qui lui appartiennent et que je comprends parfaitement d'ailleurs), et tu comprendras que je n'ai pas été très assidue ces derniers temps dans mes comptes-rendus de projet. Mais mon tricot, lui, est toujours à jour ! 

lundi 18 septembre 2017

40 ans, même pas maaaaaal !


40 ans... XL... Signe que tu grandis? Ou que finalement, tu rajeunis (28 en hexadécimal)? Tu as très certainement développé de la puissance (40 = 31 + 32 + 33!). C'est le moment de réclamer ta bague en faux diamants (Zirconium), de t'allier à Ali Baba pour réduire le PIB en piquant au CAC, d'arrêter le carême et de sonner la fin du déluge!
L'année sera rugissante, même si elle peut paraître un peu fraîche ici comme chez nos amis anglo-saxons (Celsius et Fahrenheit unis dans un même combat!), tant qu'elle ondule avec UB, même si on te coince en quarantaine et que c'est raté pour la médaille Fields, tu es désormais un étalon (demande au méridien terrestre) et tu as ton hymne (demande à Mozart)!


mercredi 30 août 2017

The pull-doudou (violet of course)

(ah oui, super, en tenant l'appareil à bout de bras on voit rien, hein !)
(bon, on va donc dire que c'est fait exprès pour que tu vois les mailles...)
(du point mousse tout bête, donc)
(oui, j'ai un problème avec les parenthèses...)

Avec le retard que j'ai accumulé dans mes notes à poster, j'en suis à te parler de pull doudou en pleine canicule, ah bravo !
Note express et minimaliste donc pour te présenter mon nouveau pull préféré (mais que je n'ai pas porté depuis 3 mois tellement il fait chaud) : mon pull-doudou, évidemment rose/violet ! 

samedi 12 août 2017

Cosmétiques DIY #15 : les déodorants les plus mieux (version été et hiver)


Depuis le temps que je bidouille mes cosmétiques et que j'améliore mes recettes,  j'ai bien amélioré mes recettes et notamment celles de mon produit chouchou : le déodorant. Oui, c'est mon produit chouchou car c'est celui qui a le meilleur rapport simplicité / efficacité / coût. Et c'est même souvent celui par lequel j'amène mes zami-e-s à découvrir le plaisir du bidouillage pour faire ses produits soi-même (hein oui Audrey ? ;) ). 

Je fais donc ici un petit rappel - correctif de mes recettes précédentes, version améliorée, avec toujours les mêmes ingrédients : 
  1. huile de coco
  2. bicarbonate
  3. fécule de maïs / arrow root
Et c'est tout ! On peut ajouter des huiles essentielles (pour le parfum et les vertus des HE), du beurre de karité (dans la version hiver, pour plus de douceur), des fragrances aromatiques (pour sentir bon sous les bras)... Mais rien qu'avec ces trois ingrédients là, faciles à trouver et peu onéreux, on peut déjà se faire un chouette déo qui remplit bien son office et qui est simplissime à faire. 

Voici les deux versions du  wonder-déo crème, version été et version hiver : 

vendredi 14 juillet 2017

Tambouille ludique et utile : de l'art d'exploiter le DIY pour les rééducations. #pâtamoler #oobleck #slime


Ceci est une note qui associe mon amour du DIY et du bidouillage en folie avec l'orthophonie, option boîte à outils. 
Trop.
De.
Bonheur
. 
Je la dédicace à Elisa, toi même tu sais, et à Amandine, mes coporthos-bidouilleuses-pros-de-l'oralité. Parce que figure toi qu'aujourd'hui, on va apprendre à bidouiller utile, pour travailler la sensorialité de nos patients chéris ! Et oui ! Et, accessoirement, pour s’entraîner, on va aussi faire le bonheur des monstroplantes, si ça c'est pas d'la boulette quand même ! 


Oobleck, slime et pâtamoler : le trio gagnant de la sensorialité ! 

Pour les zorthos qui passent par ici, je ne vais pas vous faire un dessin : vous savez très bien pourquoi c'est super tip-top-moumoute d'avoir des tas de textures à utiliser avec nos patients adorés pour les désensibiliser, leur faire travailler leur motricité, tout ça... 

Pour les pas-zortho mais qui veulent s'éclater en cuisine avec leurs monstoplantes respectifs, vous aller découvrir 3 recettes pour faire mumuse, dégueulasser la cuisine et patouiller dans la joie et la bonne humeur !
Ready ? GO !

vendredi 7 juillet 2017

#projetcelsius2017 : non, non, je ne suis pas à la bourre... [Mon DU m'a tuer]



  • J'ai à peu près 3 semaines de retard sur ce projet. C'est la misère. Mon DU m'a tuer. 
  • Il a fait chaud. TRÈS chaud. Un épisode caniculaire m'a forcé à utiliser le coloris 1628 avant même la période estivale des grosses chaleurs entamée. Ça promet ! 
  • L'été n'est décidément pas une saison adaptée au tricot, surtout quand tu tricotes une couverture qui repose sur tes jambes pendant que tu enchaînes les rangs... J'ai chaud. 
  • Bon, au moins, elle sera parfaite pour l'hiver prochain, cette couverture, douce, chaude et moelleuse !
  • Faut-il que j'ajoute des marqueurs "série" en plus des mois qui passent ? Juin a été résolument marqué par mon DU la saison 5 d'Orange Is The New Black. Pour juillet, je pense qu'on peut tabler sur House of Cards. Mais en VOSTF, c'est pas facile pour tricoter sans se tromper... 
  • L'été est là, et bien là : les couleurs se révèlent au soleil, je suis fan de ce dégradé qui se dévoile sur ma couverture-météo ! 
Note minimaliste, se you soon ! 


jeudi 6 juillet 2017

DIY express : le snood estival en, 3 coups de ciseaux !


Hop, hop ! C'est reparti pour la note express du jour, en attendant les 14 autres (au moins !) qui essayent de forcer le passage et d'entrer dans la liste des trucs à faire de mon BuJo avant fin décembre...
Aujourd'hui, bidouillage express option recyclage de vieux tee-shirt pour te faire un snood d'été, sans colle ni couture ni... Ni rien en fait, il te faut juste un vieux tee-shirt et une paire de ciseaux.

L'idée n'est pas de moi, j'avais vu passer une image explicative il y a des années, mais je n'arrive pas à remettre la main dessus... Donc comme des zami-e-s m'ont demandé comment faire pareil, zou, photos, tuto ! 

mercredi 28 juin 2017

Des Tawashis pour tout laver !


Oh mais dites donc, j'attaque présentement la note sur un bidouillage réalisé il y a moins de 9 mois ! Incroyable !



Et on parle de quoi aujourd'hui ? 
De TAWASHI



Tawashi quoi ? 
Punaise ce nom est un appeaux à jeux de mots pourris ou je ne m'y connais pas... (M. et Mme Nétenpanne ont une fille, tout ça² <- blague drûle bonjouuuuuuur ! )

Mais ça existe vraiment !


C'est japonais (avec un nom pareil, tu m'étonnes !) et ça désigne une éponge faite-maison, au tricot, au crochet ou en tissage, pour remplacer les éponges, les fleurs de massage et autres trucs qui servent à récurer la peau ou les gamelles. Ouep. Carrément. 


Bon, évidemment, quand j'ai découvert les tawashis à l'automne dernier, c'était un peu la révélation pour moi. Mais 9 mois plus tard, des tawashis, on en croise à tous les coins de blog donc c'est plus vraiment une nouveauté, mais tant pire, je fais ma note quand même, na ! 

mardi 27 juin 2017

Des dreamcatchers en veux-tu en voilà, période I

Bon, les gens, l'heure est grave.
J'ai des notes qui ont plus d'un an de retard.
Un an !!!
Incroyable.
Mes périodes de bidouillage intensif alternant vitesse grand V avec mes phases de procrastination, on n'est pas rendu, ma brave dame.
Donc on va faire simple, sobre, efficace : des photos, quelques commentaires viteuf, et zou !!!


Et donc, sous tes yeux zhébahis, voici une première série de dreamcatchers (le premier ayant été bidouillé en mars 2016... Ahem !).
Une première série, car oui il y en a eu une deuxième, des attrapes-rêves réalisés au crochet, version mandala comme celui-ci : dreamcatcher pour mini-boy (tuto complet) ou celui-là : dreamcatcher du #3pelotes1crochet8projets (et il y en a d'autres à suivre !). Mais ceux-là, les dreamcatchers "simples", je ne te les avais pas encore présentés. Pire, j'ai même préparé un tuto complet, mais pas moyen de remettre la main sur les photos ! :(


First of all, le dreamcatcher pour Bibou 1er, alors en pleine phase de cauchemars.
Il a choisi ses couleurs, et les doux rêves ont enfin adouci nos nuits (le pouvoir de ces attrapes-rêves faits avec amour est sans limite).

En deuz', l'attrape-rêves pour Pauline-Paillette, qui me l'a échangé contre un très joli dessin ("Stormtrooper de Vitruve", hyper classe !) que j'ai offert à sieur Pacsman pour Noël (oui, oui... Noël 2015. J'étais DÉJÀ en retard).

Et enfin, le 3ème, commande express alerte-pépette-en-détresse, réalisé en speed à la demande de Julie pour sa petite puce : elle a bon goût cette gamine, bleu roi, violet et gris, j'adore !!! Je l'aurais bien gardé pour moi, j'avoue... :p

Voilà, voilà, je vais donc enfin pouvoir passer aux notes concernant les bidouillages de... Oh... Hm... Du printemps 2016 ?
Moui... Et puis après, par effet boule de neige, les notes sur mes réalisations de cet été, je les posterai l'année prochaine, aux alentours d'octobre-novembre ! Youhouuuuuu !!!

lundi 22 mai 2017

Cosmétiques DIY #14 : chacun sa crème !

Ola zami-e ! Ne vas pas croire que j'ai lâché l'affaire des cosmétiques DIY, non, non, non... C'est juste que primo un on a fait un peu le tour des cosmétiques basiques, simples, rapides à faire et pas chers donc je ne voulais pas en rajouter pour rien, et primo deux, j'ai pas eu beaucoup de temps à consacrer à mes hobbies ces derniers temps (reprendre des études est une trèèèèèès mauvaise idée, promets-moi de me le rappeler par une petite tape derrière la tête quand je tomberai à nouveau en pâmoison devant l'intitulé d'un D.U., merci...)

Mais ces derniers jours semaines mois - non, non, j'ai pas de retard dans mes notes ! - j'ai testé de nouvelles façon de bidouiller une crème hydratante, alors rien que pour toi et ta douce peau veloutée, voici non pas une, non pas deux mais bien trois recettes d'un coup ! Youhouuuuuu ! 


#14 - Les crèmes hydratantes, de la plus légère à la plus riche

crème légère au jasmin, 
crème hydratante au jojoba, 
crème riche au miel : 
chacun la sienne ! 

mardi 9 mai 2017

#projetcelsius2017 : en avril, ne te découvre pas d'un fil.

#projetcelsius
#temperatureblanket
#tricot4ever
#mémèretime
#expressiondésuète


Voici un peu en retard mon compte-rendu du mois pour le #projetcelsius2017 ! 
A chaque mois sa nouvelle couleur : pour le mois d'avril, c'est le crème qui fait son apparition, un beige très doux qui fera la transition entre le jaune pâle synonyme de printemps et les tons orangés des températures qui ne vont sans doute plus trop tarder à monter... Enfin j'espère ! 

mercredi 26 avril 2017

Pussy-hat powaaaa ! #tricot




Maintenant que le beau temps arrive, ça me semble être pile-poil le moment de te parler de mon #PussyHatProject ! Ben oui, le soleil est là, les bourgeons s'épanouissent, les fleurs poussent et les tondeuses entament leurs doux chants du week-end : parlons bonnet, c'est tellement adapté ! 


[J'ai donc 3 mois de retard sur cette note, ça va, j'ai fait pire : il y en a une qui sommeille dans mes brouillons depuis plus d'un an... On est laaaaarge !]
Le pussy-hat, tu en as sans doute entendu parler lors de l’investiture du wonderful new mister president aux USA - oui, je suis ironique, en doutais-tu ? - : c'est un bonnet rose avec des oreilles de chat, en référence au très classieux "grab them by the pussy" du bonhomme orangé qui aime tant les femmes, ces "naughty women". 
Je ne vais pas te résumer tout le principe, il est très bien présenté ici : 


Tu penses bien qu'un projet pareil, ça allait forcément me plaire : on parle bidouillage et féminisme, tricot et contestation, c'est pas si habituel ! Si aujourd’hui il y a moyen de concilier mémère-time et lutte contre le sexisme, I'm in ! 

samedi 1 avril 2017

3 pelotes, 1 crochet, 8 projets !


Incroyable mais vrai : il y a des gens qui gagnent aux jeux-concours sur les réseaux sociaux ! Je n'y croyais pas moi même... Jusqu'à ce que Phildar m'annonce que j'ai gagné un kit crochet en participant à un tirage au sort sur Instagram !

Quelques jours plus tard, je reçois 3 pelotes de Phil'coton et un crochet en bambou dans une jolie boîte enrubannée. Youhouuuuu !

Trois pelotes, ça laisse pas mal de possibilités.
Les couleurs sont belles et bien assorties, le crochet très agréable à utiliser, et des idées, c'est pas ça qui me manque !
Au final j'ai réalisé 8 petits projets en crochet, les voici : 

#projetcelsius2017 : spring is comming ! [Mars]

Hello my friends ! And welcome to the mémère-time du mois ! 

Nous sommes le 1er avril, et c'est donc un poisson dans le dos que je vous informe de l'avancée des travaux #projetcelsius, marqué ce mois-ci par l'arrivée du printemps et d'une nouvelle couleur ! 

Après les premiers rangs de vert au mois de février, j'ai eu le bonheur de passer au jaune dès le 3 mars. Comme d'hab', l'arrivée d'une nouvelle couleur c'est d'abord la joie du changement, avant de passer très vite, quelques jours plus tard, au ras-le-bol et à l'envie de passer à autre chose... :p

Le 29 mars, j'ai vraiment cru que j'allais attaquer les orangés, mais fausse alerte, et depuis ce matin je suis même repassée au bleu. Tristesse. 

samedi 25 mars 2017

L'instant pouet


Des courses à faire
Mes comptes bancaires
Doutes capillaires
Trois formulaires

Lettres à poster
Portable paumé
Enfants crevés
Faire à manger

Mes comptes-rendus
Les clés perdues
Biche aperçue
Fruit défendu

C'est pas un poème c'est une liste
De tout ce qui traîne et qui s’enkyste :
L'inventaire de tout ce que je dois faire
C'est moins marrant que chez Prévert.

Cet emploi du temps bien rempli
C'est l'allégorie de ma vie ?
Je cherche le raton laveur
Ce poétique ambassadeur.

Des petits riens qui plombent le temps
Redonnent le sourire tout autant.
Listons mes antidépresseurs !

Une bière fraîche, un bon bouquin,
Un coup de fil, rêver demain.
J'ai trouvé mon raton laveur.

(écrit en juillet 2014 pour Vincenzo, toujours d'actualité !)

mardi 7 mars 2017

Orthos au bord de la crise de nerf, patients perdus sans pouvoir rien y faire.


Tu as sans doute entendu parler de la grève des fonctionnaires aujourd'hui, et plus particulièrement des professionnels de la santé qui ont manifesté à Paris.
Je n'y étais pas, hélas, pourtant j'aurais bien aimé. Je ne suis pas fonctionnaire, pourtant, me feras-tu remarquer. Certes, mais je suis solidaire! Solidaire de mes confrères-zet-sœurs orthophonistes si mal payés à l'hôpital : le SMIC + 60€, tu penses bien que ça n’attire pas les foules... Et c'est sous les slogans "Ortho smicard de l'hôpital se barre" et "Nous n'aurons plus les moyens de vous faire parler" que les orthos ont défilé aujourd'hui, à grand renfort de sifflets, de casseroles, de haut-parleurs (et de bouchons d'oreille parce que prévenir la surdité, c'est important... Professionnels jusqu'au bout!).

C'est difficile de faire comprendre à tout un chacun que non, les orthophonistes ne sont pas des privilégiés, et c'est d'autant plus compliqué à faire entendre que les places chez les orthophonistes sont chères dans la grande majorité des régions de notre beau pays. Quand on doit attendre des semaines, voire des mois avant d'obtenir un rendez-vous, on peut légitimement penser que ça veut dire que les orthos ont du taf' à ne plus savoir quoi en faire, et que donc, ça doit rentrer dans le tiroir-caisse! Alors que pas du tout, en fait...

jeudi 2 mars 2017

#projetcelsius2017 : février, ayé !

Une note par mois, ça va, on ne peut pas dire que je me foule beaucoup en ce moment. Pourtant des projets, des "en-cours" et des envies, c'est pas ça qui manque ! Non, comme d'habitude, ce qui manque, c'est du temps.
Du temps !!!
Et du coup, le #projetcelsius me fait vraiment du bien : il m'oblige à m'accorder une parenthèse chaque jour (ou presque) pour tricoter, environ un quart d'heure à faire glisser les mailles sur les aiguilles et à regarder mes pensées vagabonder au rythme des points de tricot.
Le mois de février vient de s'achever, et je suis toujours à jour !
Incroyable...

Avec les températures qui ont enfin lâché le niveau 0 et le printemps qui approche, ma couverture s'est vue ajouter une nouvelle couleur : un vert tendre tout doux, pour les températures au dessus de 14° (je prends la température à midi, je le rappelle...).
J'en ai fait 3 rangées en tout sur le mois de février, et mon mois de mars commence aussi avec cette couleur, j'ai décidé que c'était de bon présage pour le mois qui arrive.


Pour une fois, pas de note à rallonge, je reste sobre : il n'y a pas eu de péripéties comme au démarrage du projet, pas de révélations ni de découvertes comme au mois de janvier, juste un rythme qui s'installe et un projet qui se poursuit en douceur.

Et autour de ce projet, tu penses bien, d'autres choses me viennent en tête et au bout des doigts : me tricoter un pussy-hat (c'est en cours, après avoir entièrement détricoté mon premier essai trop large), finir mon essai de space-invaders en C2C, refaire des tawashis, adopter le tricotage à l'occidentale... Tu ne vois pas de quoi je parle ? T'inquiète, j'essaye d'y revenir avant 2 mois, et de te poster des p'tites notes là dessus !
Mais en attendant, je te laisse, j'ai des aiguilles qui m'appellent... ;)

NB - le récap' des #projetcelsius2017 pour le mois de février, c'est ici ! Merci Le Chat Qui Pelote !

mardi 31 janvier 2017

#projetcelsius2017 : bilan du premier mois

Youhou ! Je suis toujours là ! 
Et non, non, je n'ai pas lâché mon projet de l'année... 


Ma "temperature blanket" avance doucement mais sûrement !
1 mois = 31 rangées... Et ça commence à ressembler à quelque chose.
J'arrive à être relativement régulière, sauf le jeudi soir (y'a cours de danse :p ), et au pire je n'ai eu que 4 jours à rattraper...
La suite du mois de janvier en images ! 

mercredi 18 janvier 2017

Quand je serai grand, je serai arbre.

« Quand je serai grand, je serai arbre. »
Maman a encore levé les yeux au ciel. Enfin, au plafond, parce qu'on ne voit pas le ciel quand on
regarde en l'air dans la cuisine. Elle a dit : « Ça n'a ni queue ni tête, Tom ! ». Évidemment que ça n'a
ni queue ni tête, un arbre. Enfin si, on peut considérer que les plus hautes branches sont la tête de
l'arbre, mais la queue, ça, je vois pas. Mais c'est normal, c'est parce que « ni queue ni tête » c'est une
expression imagée. Ça veut dire que ça n'a pas de sens, et même que c'est un peu stupide. Moi, je
trouve que ce sont les expressions imagées qui sont un peu stupides, parce que bon, techniquement,
« être sur son 31 »  par exemple, ou « tomber dans les pommes », ça, ça n'a pas de sens... « Tom, tu ne
peux pas être un arbre, on en a déjà parlé... » me re-dit Maman en soupirant.
Tom, c'est moi. Si on le dit en langage d'avion, ça fait Tango - Oscar - Mike. Le tango c'est une
danse. Ça bouge. On compte les temps pour mettre les pieds dessus : 1, 2, 3 et 4. Moi j'aime bien
danser, mais j'aime que les slows, sinon ça va trop vite.
J'aime bien parler en langage d'avion aussi. Je dis ça mais ce ne sont pas les avions qui parlent, bien
sûr, ce sont les gens qui sont dans l'avion et dans la tour de contrôle qui utilisent les mots à la place
des lettres pour être sûr de bien se comprendre, sinon ça peut faire des accidents et des catastrophes
et tout. C'est l'alphabet radio international, et c'est l'Organisation de l'Aviation Civile Internationale
qui a décidé un jour que, hop, les gens des avions il parleraient comme ça. Moi j'aime bien l'idée
que tu prends le temps de dire des mots à la place des lettres, parce que les avions ça va quand
même super vite, mais là, paf, à un moment, les pilotes ils sont obligés de ralentir, ça fait comme
une parenthèse de calme dans la vitesse (une parenthèse de calme, ça aussi c'est une expression
imagée, parce que dans la vraie vie on ne peut pas mettre de vraies parenthèses comme dans les
textes), comme un moment-statue dans un monde qui bouge tout le temps.
Mais même les vrais moments-statue, ça n'existe pas, parce que la planète, elle tourne sur elle même
(1670 kilomètre à l'heure) et elle tourne autour du soleil (107 460 kilomètres à l'heure). Du
coup, même quand on ne bouge pas du tout, qu'on est parfaitement immobile, ben on bouge quand
même. Et alors moi, je me suis dit que si on veut vraiment être parfaitement parfaitement immobile,
il faudrait faire la statue dans un avion qui va super super vite dans le sens contraire de la rotation
de la planète terre, comme ça ça annulerait les mouvements. Sauf que pour ça, faudrait un avion qui
va tellement vite que je ne pense pas que c'est possible. Y'a que Superman qui pourrait le faire, s'il
existait. Surtout qu'en plus le système solaire se déplace à 2000 kilomètre à l'heure dans un nuage
interstellaire, alors ça commence à devenir vraiment compliqué de savoir dans quel sens il faut
voler, et à quelle vitesse, pour être tout à fait parfaitement immobile...
Et puis même. J'ai réfléchi et en fait, réfléchir, c'est faire circuler des « informations neuronales »
dans notre cerveau. Si ça circule, c'est que ça bouge. Les pensées, c'est comme du mouvement dans
la tête. Alors à moins de s'arrêter de penser, on ne peut même pas être immobile à l'intérieur de soi.
Je ne sais pas si on peut essayer d'annuler les mouvements de pensée en bougeant sa tête très vite,
parce que je ne sais pas dans quel sens elles bougent, les idées, ni à quelle vitesse. Peut-être qu'elles
vont encore plus vite que le son (340,29 mètres par seconde ) ? Ou même que la lumière (299 792
458 mètres par seconde) ?
Ça donne un peu le tournis quand on y pense... Et moi j'arrive pas à arrêter de penser.
En fait, c'est pas possible la vraie vraie immobilité.
C'est pour ça que faire la statue sur place, comme un arbre, c'est déjà pas si mal. Et puis un arbre, ça
pense pas. Enfin, je crois pas. Ça doit être chouette, de pas penser, des fois...
Alors moi, quand je serai grand, je serai arbre.
Je l'ai redit à Maman pendant qu'elle rangeait les verres dans le lave-vaisselle, mais en chuchotant
lentement à son oreille. Quand on dit les choses doucement, un peu comme des mots-statues, ça
s'installe mieux dans la tête, je trouve. Maman a soupiré, mais un soupir gentil, ceux qui vont avec
les bisous, pas un soupir de « Oh tu m'énerves ! ». Un soupir tout doux, comme le vent dans les
branches.
Quand je serai grand, je serai arbre à soupirs de bisous, même.

Petite nouvelle écrite en avril 2015 dans le cadre des ateliers
d'écriture "écrire en ligne" animés par Gaëlle Pingault.
Gaëlle vient d'ailleurs de sortir son dernier recueil de nouvelles
aux éditions Quadrature : "
Avant de quitter la rame"
(ici : http://editionsquadrature.be/catalogue/avant-de-quitter-la-rame/).
J'ai pleuré en le lisant, au moins 2 fois et demie.
Lis-le, tu vas voir, c'est génial.
Et n'oublie pas : un jour, l'art sauvera le monde.

mercredi 11 janvier 2017

Un pull tout simple et rapide à faire #tricot #tuto


Comme chaque année, j'ai bossé pour aider les lutins du père Noël.
Comme chaque année, je n'ai rien posté ici parce qu'il fallait garder la surprise.
Comme chaque année, je me retrouve avec trouze-mille notes en retard.
Comme chaque année, je vais sans doute renoncer à pas mal d'entre elles.
Mais pour le pull tout simple, je fais une exception !
Facile à faire, rapide à tricoter, et idéal pour les débutants en tricot : c'est THE pull easy par excellence, et du coup, paf, j'ai fait un tuto (oui, carrément).



Je cherchais un modèle pour tricoter un pull à ma nièce, qui maintenant porte des vêtements taille adulte, et mes critères étaient les suivants :
- facile → pas de points compliqués.
- rapide → grosse laine !
- joli → oui, parce que bon...
Mais pas moyen de trouver le modèle idéal. Apparemment, il n'est possible de ne prendre en compte que 2 critères sur les 3. Ça m'a énervé un brin... Et puis je me suis rappelé que "less is more" et que bien souvent, le plus simple est encore le plus mieux !
Alors j'ai pris les mesures sur un de mes pulls, dessiné un p'tit schéma en speed et dégainé la laine : même pas peur.
Et moins de 10 jours plus tard :


Ta daaaaaah !
Il est pas beau mon pull tout simple ? En tout cas ma nièce l'apprécie : du déballage jusqu'à la fin des vacances, elle ne l'a pas quitté (sauf pour dormir... et encore !).

Ma Mantoune désirant tricoter un bon gros pull douillet elle aussi, je me suis décidée à écrire mes explications au propre, parce que bon, sinon, je pouvais lui envoyer mes notes, mais je ne suis pas sûre que ce soit très clair...

← mes p'tites notes griffonnées sur une enveloppe : limpide ! 

J'ai tout remis au propre, j'ai même calculé les mesures pour les tailles S, M et L, et voilà, zami, zamie, je ne suis pas peu fière de te proposer mon tuto en PDF trop la classe pour pull tout simple et inratable :

(clique pour ouvrir !)

Alors OK, avec des aiguilles n°9, t'as un peu l'impression de tricoter avec des pieux. Mais le rendu est vraiment sympa. Rien ne t'empêche de tricoter avec de la laine plus fine (et des aiguilles plus petites, du coup !), tant que tu fais un échantillon et que tes calculs d'équivalence sont justes.
Idem pour les points utilisés : si tu veux t'amuser à tout faire au point de riz, de blé, en jersey ou autre... Fais-toi plaisir ! Dans ce cas, réalise ton échantillon dans le point choisi, histoire que ça ne fausse pas tes mesures.
Si tu es vraiment une archi-débutante et que le point mousse, ça va, mais que le point de riz, c'est déjà trop hard-core, ou que tu galères avec l'ajout de mailles pour les manches ou pour refermer l’encolure don't panic ! Tu peux trouver de l'aide sur le site de phildar : la phil'académiemonter les mailles, le point mousse, comment rabattre les mailles, les coutures... Il y a tout ce qu'il faut !
Alors, prêt-e à tenter le gros pull moelleux spécial soirée d'hiver ? ;-)

Et si tu te lances, pense à moi :
leblogdesecotine@gmail.com
ça me fera bien plaisir !

samedi 7 janvier 2017

#projetcelsius2017 : 365 jours de tricot !

Alors déjà, pour commencer, blablabla tout ça tout ça : 
BONNE ANNÉE ! 
Que la bougnette suprême bénisse les tiens, l'univers et
les alentours pour l'éternité et au delà, etc. 
Voilà, ça, c'est fait. 


Passons maintenant aux choses sérieuses. A savoir : dans la vie, tu le sais, je m'ennuie. Je n'ai pas grand chose à faire entre les monstroplantes, le boulot, mes lectures, les bidouillages divers-zet-variés et le reste (des trucs inutiles comme manger et dormir), donc je cherchais une occupation pour les mois à venir. Et là, BIM, je ne sais plus quand ni comment, mais je suis tombée outch sur cet article de blog : 

Tout cela m'interpelle : une "temperature blanket" ? Mais qu'est-ce que c'est donc ? 
Deux heures de pérégrinations sur Pinterest et Instagram et ça y est, je suis totalement in love : moi aussi j'en veux une !!!!

Le principe : que ce soit au crochet, au tricot ou avec toute autre technique de ton choix, il s'agit d'utiliser dans un projet bidouillage une laine choisie en fonction de la température extérieure, et ce chaque jour. Au total, 365 rangs / lignes / grannys pour former une écharpe, un châle, une couverture ou un napperon pour guéridon de Géant Vert oh oh oh
C'est pas génial, ça ?!
Mais si, c'est génial ! (c'était pas une vraie question) 
Je me pose pas mal de question : tricot ? Crochet ? Quel point ? Quelle taille ? Quelle laine ?
Et puis, zou, la fin de l'année arrive alors il est temps d'agir : je me décide pour un projet au tricot, avec une gamme de laine que je sais pouvoir retrouver toute l'année dans le magasin à proximité.
Le 31 décembre, je vais chercher mes laines et une paire d'aiguilles circulaires, et c'est partiiiiii !