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mercredi 4 juin 2014

Here comes a new challenger ! #Psychopatate

Tu te souviens de ma note sur la psychologie de comptoir, aka "la psy m'a tuer" ?
Peut-être que tu t'es dit : "Naaaaan, mais elle exagère ! Ce genre de truc, c'est du romancé, ça existe pas en vrai !"
Et bien tiens-toi bien, here comes a new challenger !
Ma cops ZeC a eu affaire à une psychopatate elle aussi, une de compet', du genre que tu en restes bouche bée en pleine réunion tellement t'y crois pas...
Ladies and gentlemen, voici la nouvelle perle des psychopatates :


Ce matin, réunion au collège en présence de la Conseillère d'Orientation Psychologique , la COP ( pas la mienne de cop's) et là, grand moment dans la top list du vécu des orthophonistes ; l'enseignante parle du graphisme de la collègienne qui trace ses "o" et ses "a" de la même façon. Intervention de la divine COP: 
- normal, à la puberté, les "a" et les "o" sont chargés de sens. C'est pour cela que quand on demande de dessiner un arbre, on aura souvent un trou dans le tronc voire un écureuil dans le trou. Chez les garçons, pas du tout.
-.......
Si, si j'vous jure que c'est vrai #vismavied'ortho #pipiculotte
Illustration par Jean-Michel, autre orthophoniste pas cop' des COP. Merci ! :')
Du coup, ma cops Anne (oui, encore une... ) se demande :

Je serais curieuse de connaitre son interprétation de la confusion entre P et Q !!!
Et Laurent (car oui, nous avons bien des hommes orthophonistes, incrédibeul beut trou -dans l'arbre - !) nous narre à son tour son expérience :
Bien ! J'ai aussi dans ma besace la thérapeute qui explique que le toto ne sait pas lire parce que le verbe lire quand tu le conjugues ça fait "lit" comme le lit où couchent ses parents, et ouais !

Les psychopatates et les orthophonistes, une grande histoire d'amour...

2 commentaires:

  1. Je trouve l'arbre de Jean-Michel très phallique...
    Je dis ça, je dis rien...
    Haaaa, les psychopatates nous feraient un peu plus rire s'ils n'avaient en charge l'analyse de nos bambinos...

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  2. Le coup de "lire" = "lit" des parents, c'est tout droit sorti de chez Françoise Dolto, que j'aime beaucoup par ailleurs, mais dont cette sur-interprétation m'avait laissée pantoise.

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Commentaires, remarques, critiques : lach T comz.