C'est la coutume, ce
premier post de l'année se doit d'être celui où je commence par
vous souhaiter, à tou-te-s, une très belle année 2013. Je vous
souhaite beaucoup de sourires, de rencontres, de petits bonheurs
quotidiens et quelques belles grandes joies aussi. Plein de bonnes
choses, et puis la santé, hein, c'est important... Le plus
important, même. En ce début d'année où j'ai vu partir une amie
qui se battait depuis longtemps contre l'affreux crabe et où une
autre amie a dit adieu à sa mère-grand, il est bon de se rappeler
les priorités.
Les priorités... La vie, quoi. La notre, celle qu'on
choisit, celle qu'on subit, celle qui fait sourire et celle qui fait
pousser des boutons d’acné à l'adolescence, celle avec ses hauts
et ses bas mais avant tout la notre. Et on n'en a qu'une. Autant ne
pas la planter, pas vrai ? Ne pas ranger les rêves et les projets
trop vite au placard. Parce que c'est dur de les ressortir. Un peu
comme cette étagère moche qu'on a fixée au mur en attendant d'en
trouver une plus belle et plus pratique, pour se rendre compte 3 ans
plus tard qu'elle est toujours là et qu'on ne la voyait plus.
Bref.
Je voulais faire un billet joyeux, tu parles d'un échec !
Et pourtant, c'est l'histoire d'un projet qui ressort du placard, d'une envie à qui on donne sa chance, d'un rêve qui se concrétise.
Il y a un moment où il faut se jeter à l'eau.
Se décider à lâcher le bord.
Oser laisser la bouée au vestiaire, même, soyons fous.
Alors c'est décidé : cet été, on part.
IIIIIIIIIRWIGOOOOOOOOOOOOOO !!!
On déménage au soleil, on bouge dans le sud, on change de ville. Et peut-être même de vie, un peu aussi.
Cette semaine, les choses se précipitent : on met en vente la maison, et je recherche officiellement un-e remplaçant-e (oui, je suis d'un naturel optimiste).
Au mois d'août, si tout va bien (croisons les doigts, touchons du bois, brûlons un cierge !) on part vivre à Montauban.
Voilà, voilà...
Et je flippe, aussi, un peu quand même.
Mais ça va BIEN se passer... Hein oui ?!
Je vais avoir besoin de vos ondes positives, mes zamis !
Et laissez-moi y croire : on va faire mentir l'expression "loin des yeux, loin du cœur", chiche ?
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